Posturagile

Notre retour d’expérience dans le domaine de la prévention et plus particulièrement des RPS nous a convaincu de l’importance de faire évoluer les représentations et pratiques managériales des dirigeants et encadrants. Le coaching mental trouve alors toute sa place, en aidant à surmonter les obstacles, les peurs et modifier les biais cognitifs. Il permet d’aborder les défis de manière centrée sur les solutions afin d’atteindre les objectifs de changement fixés. 

À la différence du coaching traditionnel, le Coaching Mental peut intervenir à un niveau plus profond grâce à l’utilisation d’outils permettant d’activer des ressources accessibles à  l’inconscient. 

Avoir recours à un coach sportif permet la lutte contre la sédentarité, l’entretien des amplitudes articulaires et du tonus musculaire, de la capacité ventilatoire et de l’efficacité du système cardio-vasculaire. Tous ces paramètres influent directement sur le développement des TMS.

L’expertise du coach repose sur sa capacité à adapter des programmes d’exercices en fonction des publics ciblés, des objectifs et du temps de réalisation envisageable.

Réalisée en groupe, c’est aussi un excellent moyen de créer une dynamique collective et de renforcer la cohésion d’équipe.

En proposant à vos équipes des sessions de coaching sportif privatisées, dans vos locaux ou en ligne, qui tiennent compte des connaissances en posturologie et préférences motrices, vous renforcer votre marque employeur et agissez directement sur la Qualité de Vie au Travail.

À ne pas confondre avec l’analyse gestuelle et posturale en situation de travail (en lien avec l’ergonomie et sa dimension bio-mécanique), la posturologie repose sur l’analyse des capteurs du système postural de chaque individu. 

La posturologie est une discipline qui étudie la position de l’homme dans l’espace : son équilibre, sa stature, son aplomb, sa stabilité, etc. Elle se pratique à l’aide d’appareils de mesure spécialisés. Elle prend en compte aussi bien la capacité de demeurer en équilibre sur ses pieds que la symétrie du corps ou la perception visuelle de l’horizontalité.

La posturologie permet d’individualiser les prises en charge en fonction des divers déséquilibres des systèmes :

– podaux (les pieds, chevilles et voutes plantaires) ;

– oculaires (les yeux et les muscles qui les mobilisent) ; 

– manducateurs (les dents, les articulations temporo-mandibulaires, la langue et la ventilation) ;

– cutanés (cicatrices) ;

– vestibulaires (oreille interne et cervelet).

Les motifs de prise en charge sont variés :

– douleurs chroniques (sciatique, névralgies) ;

– pathologies d’hyper-sollicitation (arthrose, tendinite, syndromes canalaires) ;

– pathologies rachidiennes (lombalgie, dorsalgie, cervicalgie, lumbago) ;

– migraines et vertiges ;

– détection précoce et le suivi des déformations rachidiennes (scolioses, hypercyphose, hyperlordose, etc.) ;

– instabilité articulaire récidivante (entorses à répétition, syndrome de l’essuie-glace, etc.)

La posturologie est un véritable outil de prévention des TMS et d’amélioration du bien-être au travail.

Le lien entre le pied et le reste du corps

Les pieds jouent un rôle déterminant dans la régulation des tensions musculaires permettant au corps de se stabiliser et se mouvoir dans l’espace. Au delà des notions de « pieds plats » ou « pieds creux », les informations captées au niveau des soles plantaires influent directement sur le positionnement du dos et les variations de tonus musculaires autour du squelette. 

C’est pourquoi, il est parfois essentiel de mettre à disposition des salariés des semelles individualisées (bio-mécaniques ou posturales) permettant de modifier la posture globale du corps et de libérer les tensions musculaires générant des TMS et des douleurs de dos. Ceci est d’autant plus impactant pour les personnes travaillant debout (industrie, commerce, restauration, services…..).

Les pieds jouent un rôle déterminant dans la régulation des tensions musculaires permettant au corps de se stabiliser et se mouvoir dans l’espace. Au delà des notions de « pieds plats » ou « pieds creux », les informations captées au niveau des soles plantaires influent directement sur le positionnement du dos et les variations de tonus musculaires autour du squelette. 

C’est pourquoi, il est parfois essentiel de mettre à disposition des salariés des semelles individualisées (bio-mécaniques ou posturales) permettant de modifier la posture globale du corps et de libérer les tensions musculaires générant des TMS et des douleurs de dos. Ceci est d’autant plus impactant pour les personnes travaillant debout (industrie, commerce, restauration, services…..)

La psychologie du travail et des organisations peut se définir comme l’étude de l’Homme dans son milieu de travail tant dans sa dimension psychologique que cognitive.🧠. En s’intéressant aux relations entre l’individu et ses missions, aux relations entre les individus et l’organisation ou aux relations entre les groupes d’individus, les psychologues  du travail  tendent à préserver la santé mentale, la performance et le bien-être des salariés et des dirigeants. Ils peuvent intervenir pour réaliser des diagnostics (lors de situations de crise ou en prévention de celles-ci), favoriser l’engagement des collaborateurs et le travail d’équipe, permettre l’évolution des compétences et accompagner le changement.

La sophrologie offre de véritables outils supplémentaires à la gestion des ressources humaines non seulement dans le cadre de la prévention et du traitement de certains risques psychosociaux, mais également dans celui du développement individuel des collaborateurs, pour leur bénéfice comme pour celui de l’entreprise et de l’instauration du «bien-être» en entreprise.

La sophrologie peut être utilisée pour permettre à chacun de rester dans cette zone optimale du stress qui assure la performance et la productivité optimale. Les techniques de gestion du stress proposées par la sophrologie ne sont pas uniquement destinées à s’attaquer aux effets, mais bien d’en éviter les causes.

Elles permettent à chaque collaborateur de découvrir son propre seuil de tolérance et lui donnent les outils nécessaires pour éviter de passer le point de basculement.

La diététique se définit comme une spécialisation de la médecine et de l’hygiène qui s’occupe d’adapter le régime alimentaire aux besoins particuliers des individus.

Le fonctionnement musculaire et la performance cognitive sont directement impactés par le taux de glycémie, d’oxygène et d’hydratation du corps. Notre accompagnement et conseils diététiques peuvent favoriser la régulation du poids et la prévention de la dégradation de la physiologie musculo-squelettique.
Le corps est notre premier outil de travail. Cela tombe sous le sens, et pourtant, la vie professionnelle n’est pas toujours compatible avec l’application des recommandations en matière de nutrition : rythme soutenu, horaires décalés, voyages, conduite de véhicules…

L’entreprise doit aujourd’hui assumer sa place dans l’accompagnement de ses salariés vers une meilleure santé, et notamment une meilleure alimentation.

Le plan santé au travail 2016-2020 annonce deux axes de travail majeurs dans lesquels la nutrition tient une grande place :

• Axe 1 : la prévention primaire,
  avec le dépistage et la prévention de pathologies chroniques telles que le diabète, l’obésité ou les maladies cardiovasculaires qui sont à forte composante nutritionnelle.
• Axe 2 : la qualité de vie au travail et le maintien de la performance.
  Nous avons tous vécu des somnolences après le déjeuner ou des baisses d’énergie en fin de matinée. Et pourtant, ces périodes de baisse de productivité pourraient être évitées grâce à une meilleure répartition des apports nutritionnels sur la journée

Le plan santé au travail propose aussi 2 voies majeures pour appliquer les recommandations :

• Agir par la formation, notamment avec l’intervention d’un diététicien-nutritionniste extérieur à l’entreprise.
• L’information et la communication en interne : sous forme de newsletters, d’affichage au restaurant d’entreprise etc.

L’ergonomie est « l’étude scientifique de la relation entre l’humain et ses moyens, méthodes et milieux de travail » et l’application de ces connaissances à la conception de systèmes « qui puissent être utilisés avec le maximum de confort, de sécurité et d’efficacité par le plus grand nombre »

En s’appuyant sur une analyse approfondie des activités réelles de travail (parfois différentes des activités prescrites), elle vise à objectiver les contraintes et astreintes liées à celles-ci afin d’en réduire les méfaits pour l’Homme au travail. 

Elle permet de concevoir les futures situations de travail ou de corriger les existantes pour optimiser la performance et le bien-être des travailleurs. 

Tenant compte des dimensions organisationnelles, bio-mécaniques, psycho-sociales et des facteurs d’ambiance physique, elle permet au travers de démarche participative de réduire les risques d’apparition des TMS et des RPS tout en induisant des gains de productivité et de qualité.